| Prof. dr Boris Kršev Fakultet za pravne i poslovne studije, Novi Sad  | 
		
		 UDK 341.384(497.1)  | 
	
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| Résumé: Cet article considère le 
		problème de l’évaluation et le paiement des dommages de guerre, après la 
		Première Guerre mondiale étant donné que cette question représentait la 
		plus grande pierre d’achoppement à l’occasion de faire des accords de 
		paix entre «Entente» (les pays vainqueurs) et «bloc des forces 
		centrales» (les pays vaincus). Que les grandes forces n’étaient pas 
		intéressées seulement au résultat, montre le cas du Royaume de Serbie, 
		Croates et Slovènes, qui comptait aux réparations de guerre pour obtenir 
		la plupart de ses sources de financement. Comptant sur une rente 
		contractuelle, le premier état yougoslave a fait un des plus grands 
		emprunts internes (émettant des obligations de dommages de guerre) qui a 
		finalement subi un fiasco complet. Plus précisément, la situation 
		internationale créée par la Grande (globale) crise économique a produit 
		la déclaration unilatérale d’un moratorium sur les obligations 
		allemandes, ce qu’a conduit à une suspension complète de paiement des 
		dettes découlant de dommages de guerre. | 
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| Mots-clés: le Traité de 
		Versailles, les réparations, la Conférence de Spa, le plan d’Young et de 
		Dawes, le moratorium de Hoover, le Royaume des SHS / Yougoslavie | 
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